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Actualités de la commune de Tieffenbach
La laque, le nouveau dada de Cécile (31/03/2012)

« J’ai bénéficié d’un nouveau dispositif qui m’a permis d’être formée chez Nathalie Rolland-Huckel, seule professionnelle de la laque en Alsace », explique Cécile Mairet. Baptisé « Transmission des savoirs-faires rares », il a été mis en place par la Fédération régionale des métiers d’art d’Alsace (Fremaa), à laquelle l’artiste adhère. Les artisans d’art peuvent accueillir dans leur atelier un « apprenti », à qui ils vont enseigner les secrets de leur tour de main. La formation comprend des cours d’histoire de l’art et même de marketing pour ceux qui souhaitent se mettre à leur compte par la suite. À la clé, un diplôme.
Un métier rare
Ainsi, Cécile Mairet a appris les techniques de la laque, une finition de meubles et d’objets très particulière. Ce métier mérite son épithète « rare », et semble être une histoire de femmes : une vingtaine de professionnels en France à peine ; une seule d’entre elle en Alsace, qui expose d’ailleurs dans un atelier de Goxwiller ce week-end ; une seule également en France, basée dans le Sud, porte le titre de « Maître d’art » ; enfin, une seule, Martine Rey, à Voiron, utilise la traditionnelle laque végétale.
La technique de la laque a été inventée en Chine au XVIIIe siècle, et a rapidement été utilisée aussi au Japon. Elle est fabriquée à partir de la sève du Rhus Vernicifera, un arbre qui ne pousse pas en France. De plus, elle est très contraignante, car son utilisation nécessite des fours spéciaux et un taux d’hydrométrie précis. Les Occidentaux, séduits par le rendu sur les meubles, ont alors adapté cette technique en inventant un vernis gomme, que Cécile Mairet utilise désormais dans ses créations.
« Je l’achète en pot, et je le mélange à des pigments de peintres granuleux. Je tamise ensuite la mixture, en la passant notamment à travers des collants.
Plusieurs couches
Il faut ensuite appliquer sur l’objet plusieurs couches, les laisser sécher, et enfin les poncer. C’est très long, mais le résultat est plus précieux que celui obtenu avec de la laque industrielle. De plus, il offre des possibilités multiples. On peut par exemple y incruster des coquilles d’œuf, de la nacre, des paillettes d’or… » Cécile Mairet ouvre aujourd’hui et demain les portes de son atelier pour montrer au public le matériau et faire des démonstrations de son utilisation.
Près de 4 000 professionnels participent ce week-end aux 6 es journées mettant à l’honneur les 217 métiers d’art répertoriés en France. Depuis cette année, l’Espagne et l’Italie participent également, conférant à l’opération une dimension européenne. Cécile Mairet, dont l’atelier est situé au 79, rue des églises à Tieffenbach, accueillera le public samedi et dimanche de 10 h à 18 h. Elle ne sera pas la seule en Alsace Bossue. L’atelier d’enluminure Mesnig, au 15 rue des rossignols à Ottwiller, fera démonstration de son talent les deux jours de 14 h à 18 h, et les trois sites verriers de Meisenthal, Saint-Louis-lès-Bitche et Wingen-sur-Moder se sont associés pour proposer diverses animations tout le week-end (voir DNA du jeudi 29 mars)





Le retour aux sources de Mario Brossi (30/03/2012)

En acceptant le poste de délégué de l’équipe 1 de Sarre-Union, Mario Brossi revient dans le club où il avait commencé sa carrière de footballeur.

Sarre-Union reste son club de cœur. Mario Brossi, à presque 58 ans, est depuis quelque temps délégué de l’équipe 1. Son rôle est de faire en sorte que la formation se trouve dans les meilleures conditions pour aborder le match. «Je m’occupe entre autres de la feuille de match et de l’environnement proche des joueurs, les vestiaires, etc. C’est un retour aux sources. Je suis né à Sarre-Union et j’ai porté longtemps les couleurs du club sur les stades du secteur.»

Mario Brossi est de ses hommes qui sont restés modestes. Même alors qu’il était encore joueur ou entraîneur, il ne s’est jamais mis en avant, mettant l’accent sur l’esprit d’équipe et sur la solidarité. «Je suis heureux de contribuer, certes modestement, à cette belle aventure. Le championnat de France est quelque chose d’exceptionnel et le vivre de l’intérieur est formidable. J’ai beaucoup de respect pour le travail réalisé par Roudy, Laurent et Olivier sans oublier tous les bénévoles qui travaillent dans l’ombre en contribuant au bon déroulement des matches.»

Mario, en footballeur expérimenté et entraîneur, sait de quoi il parle. Mener un club à un tel niveau n’est pas si simple. Et il faut composer, trouver les ressources humaines et financières pour y parvenir.

«Mon seul regret est le manque de soutien de la Ligue d’Alsace. On voit très peu les membres dirigeants. On est tout de même le club le plus important du Bas-Rhin. Mais c’est vrai, Sarre-Union, c’est loin de la capitale alsacienne.»





Nouvelle saison pour l'APP (04/03/2012)

Les pêcheurs se sont retrouvés au mille club pour leur traditionnelle assemblée générale.
Le président Gilbert Dorn a fait le point sur la saison passée qui a été dans la lignée des précédentes. Le trésorier Clément Dorn a fait le point sur les finances qui, elles aussi, reflètent la bonne santé de l’association.
La saison 2012 débutera le lundi de Pâques avec l’ouverture de l’étang aux pêcheurs dans l’après-midi. La pêche aura ensuite lieu la plupart des dimanches jusqu'au mois de juillet où l’étang restera fermé jusqu’à la rentrée en septembre.
Parmi les dates importantes, à noter la journée de la pêche aux gros le 10 juin.
Une journée de travail pour réparer le parapet du pont donnant accès à l’étang.
Après l’assemblée générale, les pêcheurs ont dégusté avec leurs épouses un pot au feu préparé par le vice-président Freddy Reutenauer.





Carnaval d'hiver (01/03/2012)

Le service animation Enfance Jeunesse de la communauté des communes du Pays de La Petite Pierre et la FDMJC ont organisé le carnaval d’hiver au Mille Club de Tieffenbach.

Pas moins de vingt enfants se sont retrouvés du lundi au jeudi entourés d’Ariel Lemer, Betty Freymann et Aline Leininger. Durant différents ateliers ils ont confectionné leurs déguisements et préparé un petit spectacle. De même ils ont réalisé un bonhomme en carton censé représenter l’hiver.
Le jeudi soir, les parents ont été invités à découvrir les déguisements puis le spectacle de danse. Enfin, ils ont brulé le bonhomme hiver avant de déguster des gâteaux préparés par les parents.
La semaine s’est terminé en apothéose car les enfants ont passé le vendredi après-midi à la patinoire de l’Iceberg à Strasbourg.





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